Le Mouvement des importateurs et commerçants des denrées de première nécessité (MIC/DPN) est un mouvement apolitique affilié à l’UNACOIS selon ses membres. Il regroupe tous les acteurs évoluant dans le processus d’importation et de la commercialisation des denrées de première nécessité. «Il y a de la concurrence sur le marché. Les commerçants manquent d’interlocuteur. Avec le MIC/DPN, nous comptons régler les problèmes que nous constatons dans le marché» a soutenu son président Moustapha Tall. Se prononçant sur l’existence de l’UNACOIS mise en place pour défendre les intérêts des commerçants, l’opérateur économique a précisé que le MIC/DPN n’est pas une concurrente de l’UNACOIS. «Nos objectifs sont les mêmes mais nous agissons dans un secteur déterminé» a-t-il précisé.
Les objectifs du MIC/DPN sont, entre autres, de mettre en place un cadre de concertation des prix, de lutter contre la monopolisation déguisée de certains secteurs agroalimentaires, de combattre le caractère aléatoire de fixation des prix, de lutter pour le changement du code des douanes. «Ce code des douanes ne protége pas du tout les commerçants» s’est indigné Moustapha Tall. Le commerçant qui débarque avec sa marchandise une fois que le PV (procès verbal) est signé par la douane personne ne peut intervenir, aucune autorité, même pas le procureur selon le président du MIC/DPN. Ainsi, il a suggéré «la réadaptation du code pour promouvoir l’investissement et l’entreprenariat».
Concernant la baisse des denrées de première nécessité, le MIC/DPN a indiqué que les mesures de baisse prise par l’Etat sont en défaveur des importateurs. «C’est parce qu’on a des stocks qui datent de la période de la crise et c’est l’Etat qui nous avait demandé d’approvisionner le marché en quantité suffisante. En plus la production locale est déjà disponible» a expliqué l’opérateur économique. Par ailleurs, il a tenu a rappelé que l’Etat ne leur a pas encore payé la somme restante de la subvention sur le riz. Interpellé sur le sucre qui n’est pas pris en compte dans la mesure de baisse des prix, Moustapha Tall a évoqué les taxes sur le sucre. «On a pas la possibilité de changer la décision, mais on a la possibilité de changer les prix pour soulager les ménages, il faut d’abord que les taxes soient baissées» a-t-il soutenu.
Les objectifs du MIC/DPN sont, entre autres, de mettre en place un cadre de concertation des prix, de lutter contre la monopolisation déguisée de certains secteurs agroalimentaires, de combattre le caractère aléatoire de fixation des prix, de lutter pour le changement du code des douanes. «Ce code des douanes ne protége pas du tout les commerçants» s’est indigné Moustapha Tall. Le commerçant qui débarque avec sa marchandise une fois que le PV (procès verbal) est signé par la douane personne ne peut intervenir, aucune autorité, même pas le procureur selon le président du MIC/DPN. Ainsi, il a suggéré «la réadaptation du code pour promouvoir l’investissement et l’entreprenariat».
Concernant la baisse des denrées de première nécessité, le MIC/DPN a indiqué que les mesures de baisse prise par l’Etat sont en défaveur des importateurs. «C’est parce qu’on a des stocks qui datent de la période de la crise et c’est l’Etat qui nous avait demandé d’approvisionner le marché en quantité suffisante. En plus la production locale est déjà disponible» a expliqué l’opérateur économique. Par ailleurs, il a tenu a rappelé que l’Etat ne leur a pas encore payé la somme restante de la subvention sur le riz. Interpellé sur le sucre qui n’est pas pris en compte dans la mesure de baisse des prix, Moustapha Tall a évoqué les taxes sur le sucre. «On a pas la possibilité de changer la décision, mais on a la possibilité de changer les prix pour soulager les ménages, il faut d’abord que les taxes soient baissées» a-t-il soutenu.
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